LES 5 GRANDS MYTHES entourant la rénovation écologique


Mythe n°1 : Les projets de rénovation domiciliaire verts sont complexes et nécessitent des services spécialisés, comme la géothermie, la récupération des eaux grises, etc.

La réalité : Il existe plusieurs petites façons simples de rendre votre projet plus vert. Par exemple, en optant pour une peinture sans COV, pour des fenêtres plus efficaces ou pour une robinetterie qui permet une consommation réduite en eau, vous contribuez déjà à améliorer l'environnement!

Mythe n°2 : Les produits verts sont inférieurs aux produits standards sur le plan de la qualité et de la fiabilité.

La réalité : Par rapport aux produits traditionnels, les produits écologiques sont de qualité égale, voire supérieure.

Mythe n°3 : Les produits verts sont beaucoup plus chers que les produits standards.

La réalité : Les projets de rénovation domiciliaire génèrent deux types de coûts : la main-d'œuvre et les matériaux. Que votre projet soit vert ou non, le coût de la main-d'œuvre demeure sensiblement le même. Quant aux matériaux verts, leur prix s'apparente souvent à celui des produits traditionnels. Certains produits écologiques sont 10 à 15 % plus chers, mais cette légère différence de prix est très souvent contrebalancée par les économies d'énergie et la valeur ajoutée à votre maison.

Mythe n°4 : La rénovation domiciliaire ne représente pas de grandes répercussions sur l'environnement; il ne vaut donc pas la peine d'entreprendre un projet vert.

La réalité : Rien ne pourrait être moins vrai. Selon l'Association provinciale des constructeurs d'habitation du Québec, le secteur de la construction représenterait 20 % de la consommation d'énergie primaire. Il serait également à l'origine de 20 à 25 % des déchets des centres d'enfouissement et de 5 à 12 % de la consommation d'eau. Ces chiffres sont exorbitants et chaque effort entrepris pour les diminuer est bienvenu! En plus, notre entreprise vous simplifie la chose au maximum!

Mythe n°5 : Du bois, c'est du bois!

La réalité : Il existe plusieurs variétés de bois. Pour vous assurer que le bois que vous utilisez provient d'arbres abattus de maniàre responsable, recherchez les certifications émises par le Conseil de gérance des forêts ou par la Norme relative à l'aménagement forestier durable de l'Association canadienne de normalisation (en plus de protéger l'environnement, ces certifications garantissent le respect des droits des peuples autochtones).
Et pourquoi ne pas utiliser le bambou? Selon un article consacré aux rénovations vertes publié en 2007 par le quotidien montréalais The Gazette, le bambou est une herbe qui atteint sa maturité en aussi peu que sept ans, qui pousse n'importe où et sans engrais et qui rejette dans l'air plus de 35 % d’oxygène. En plus, c'est magnifique!

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